MICI : Comprendre et soulager les maladies intestinales chroniques

Catégories : Foie et digestion , Immunité et défenses naturelles , Naturopathie et Bionutrition
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MICI : Comprendre et traiter naturellement le côlon et l’intestin                    

Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin 

Des douleurs digestives récurrentes vous empêchent de passer une journée sereine voir vous font souffrir même la nuit. N’attendez pas et allez consulter un nutritionniste, un médecin puis un gastro-entérologue car comme toute pathologie plus elle est prise en charge tôt moins elle ne prend d'ampleur et plus rapidement des soins multiples et des choix adaptés pourront en venir à bout ou la contenir.

Si comme certain vous avez voulu tenir bon sans prendre soin de vous à temps et que le problème est déjà bien inscrit vous allez devoir multiplier encore plus la compréhension de votre problématique digestive et faire les importantes réformes et durablement qui vous amène vers des meilleurs résultats rapidement.

SII Syndrome de l'intestin irritable, MICI : Quelle est la différence?

Les deux sont des maladies communes qui touchent l’intestin. Cependant, à peu près les seules caractéristiques qu’elles ont en commun sont des symptômes intestinaux tels que des douleurs abdominales et la diarrhée.

Le sigle « MICI » est utilisé pour décrire deux maladies structurelles distinctes, très différentes : la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn. La colite ulcéreuse touche uniquement la muqueuse du gros intestin ou côlon, tandis que la maladie de Crohn peut toucher n’importe quelle partie et toutes les couches de l’intestin.

La différence fondamentale: la MICI est une maladie structurelle. Ce qu’on entend par « structurel », c’est que lorsqu’on examine l’intestin par radiographie, endoscopie, chirurgie ou biopsie, on peut voir les dommages structurels présents dans l’intestin. Dans le cas de la MICI, ces dommages sont causés par une inflammation dont les origines sont peu comprises, mais dont les conséquences peuvent nécessiter une hospitalisation, une pharmacothérapie rigoureuse, un soutien nutritionnel, et très souvent, une chirurgie.

L’intestin est endommagé par l’inflammation chronique. Comme les mécanismes de défense du corps cherchent à combattre ces dommages, il en résulte de la fièvre et des malaises. Les intestins perturbés peuvent saigner, et l’anémie (faible taux de globules rouges) est courante. L’incapacité de manger pendant des attaques et le gaspillage d’énergie occasionné par l’inflammation peuvent se traduire par la perte de poids et la malnutrition.

Les dommages structurels occasionnés par la MICI peuvent produire des signes physiques frappants tels qu’une masse dans l’abdomen, une communication anormale de l’intestin avec la peau (des fistules), un abcès anal ou des signes physiques de perte de poids et d’anémie.

Pour ce qui est du SII, l’examen de l’intestin d’une personne qui souffre du SII ne révèlera rien. Nous savons que le SII existe parce que les patients ont des symptômes liés à l’intestin, et il n’y a aucune autre façon de le déceler.

L'absence d'une anomalie structurale ou métabolique: une douleur abdominale récurrente, des ballonnements une modification de la fréquence de l'apparence des selles une évacuation normale (incomplet diarrhée/constipation) assortis d'un soulagement par la défécation.

Aujourd'hui, le syndrome de l'intestin irritable s'envisage davantage comme un trouble multifactorielle pouvant recouvrir pêle-mêle l'hypersensibilité viscérale l'hyper perméabilité intestinale l'inflammation l'altération du microbiote voir des perturbations nerveuses et hormonales impliquant l'axe intestin cerveau.  

Six millions de personnes souffrent de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) dans le monde (en France, plus de 250 000 personnes). Ces pathologies restent pourtant peu connues. 

Il est important  de faire la distinction entre ces deux maladies intestinales très différentes. Bien que les deux soient chroniques, le traitement et le pronostic sont en général très différents. Beaucoup de personnes  souffrent du SII, il n’est pas étonnant que certaines d’entre elles développent la MICI. Les deux maladies peuvent être présentes chez le même patient de façon purement aléatoire.



MICI : L’intestin chef d’orchestre de notre immunité

En charge de la digestion des nutriments, l'intestin constitue l’un des piliers de notre immunité, abritant pas moins de 70 % des cellules immunitaires de l’organisme. Notre immunité est étroitement liée à notre microbiote intestinal, composé de milliards de bactéries et micro-organismes, vivant en harmonie dans un équilibre complexe. Bien que fragile, cet équilibre est primordial pour un système immunitaire performant. En effet, le microbiote agit non seulement comme barrière protectrice en empêchant les agents nocifs de passer dans le milieu intérieur, mais il est aussi capable de sécréter directement des substances bactéricides. Le microbiote ou flore intestinale joue donc un rôle-clé dans le mécanisme de nos défenses.

MICI : Composition de la flore intestinale humaine 

La flore intestinale humaine est principalement composée de bactéries, aérobies et anaérobies mais également de virus, de levures et de champignons. Les bactéries sont les principaux organismes présents dans le tube digestif et elles se trouvent principalement dans le côlon. Elle joue un rôle important pour le maintien de  l'immunité et l'absorption des nutriments. Son équilibre et sa composition peuvent varier et induire dans certains cas des troubles métaboliques importants.

Il existe plusieurs types de bactéries dans la flore intestinale, mais les plus communes sont les bactéries bénéfiques appelées probiotiques. Les probiotiques sont des bactéries ou des levures naturellement présentes dans l'organisme. (Lactobacillus et Bifidobacterium, caséii, lactis Streptococcus).  Ces bactéries aident à maintenir l'équilibre des autres types de bactéries dans l'intestin, ce qui est important pour une bonne digestion et une bonne santé en général.

D'autres types de bactéries dans la flore intestinale, telles que Escherichia coli, peuvent être bénéfiques ou nuisibles en fonction de la souche. Certaines souches d'E. coli sont responsables d'infections bactériennes, tandis que d'autres aident à décomposer les aliments et à produire des vitamines essentielles.

Il y a également des champignons et des levures dans la flore intestinale, comme Saccharomyces et Candida. Bien qu'ils soient présents en petite quantité, ils peuvent causer des problèmes s'ils se développent trop rapidement ou s'ils sont présents dans des quantités importantes.

En résumé, la composition de la flore intestinale humaine comprend principalement des bactéries, avec des probiotiques bénéfiques comme Lactobacillus et Bifidobacterium, ainsi que d'autres types bactéries comme E. coli et des champignons et des levures en petite quantité.

MICI : Une bonne flore intestinale pour le bon fonctionnement du cerveau.  

Pourquoi l'intestin est un deuxième cerveau ?

Le système nerveux entérique souvent appelé “2e cerveau” et fort de ces quelques 200 millions de neurones, contrôle de manière autonome l'ensemble du processus digestif: vascularisation, motilité sécrétion des fluides gastriques entre autres. Il est donc inévitable que tout dysfonctionnement de ce réseau neuronal ait un impact sur le fonctionnement gastro-intestinal. De nombreux travaux récents indiquent que l'homéostasie au sein de l'écosystème digestif dépend d'interrelation étroite entre les systèmes nerveux entérique et central, le microbiome et l'éco système immunitaire intestinal. Une interférence dans ces interactions peut initier une rupture de l'homéostasie capable d'engendrer un syndrome de l'intestin irritable (SII).

Ce réseau complexe de plusieurs centaines de millions de neurones  logés dans notre ventre, tout le long de notre tube digestif qui contrôle de manière autonome certaines fonctions vitales, est surnommé le « deuxième cerveau ».

Un deuxième cerveau très sensible au stress.

Comment le microbiote intestinal agit sur le cerveau ?

Le microbiote intestinal envoie des signaux au cerveau, via le système nerveux entérique, qui peuvent jouer sur notre humeur, ou induire du stress. De plus, il a été mis en évidence que 95 % de la sérotonine présente dans notre corps est émise par l'intestin et transmise au cerveau.

Les bactéries intestinales influencent nos comportements et interviennent ainsi dans certaines pathologies du système nerveux (stress anxiété et dépression)

Le système nerveux central (cerveau) est en interaction permanente avec le système nerveux entérique (intestins). Ces dernières jouent un rôle capital dans l'axe intestin-cerveau puisqu'elles relient directement les systèmes nerveux de notre système digestif et de notre cerveau.

MICI : Améliorer l'équilibre immunitaire de l'intestin pour lutter contre la dysbiose (déséquilibre de la flore intestinale).

Les symptômes qui indiquent généralement un trouble digestif, un syndrome de l’intestin irritable, ou une maladie digestive sont les suivants : 

Diarrhée, constipation, saignements, régurgitation, troubles de la déglutition, ballonnements, douleurs abdominales, flatulences, reflux et remontées, lourdeurs, brûlures d’estomac, perte d’appétit, nausées.

Une douleur thoracique ou dorsale évoque le plus souvent un autre type de trouble, mais elle est parfois provoquée par un trouble digestif, comme c’est le cas par exemple pour le syndrome de l’intestin irritable.

Pour améliorer l'équilibre immunitaire de l'intestin et éviter la dysbiose, il existe plusieurs mesures que nous pouvons prendre :

1. Adopter une alimentation saine : Adopter d'un régime alimentaire anti-inflammatoire qui privilégie les aliments riches en fibres, en légumes, en fruits et en aliments fermentés (le kéfir et la choucroute), en oméga-3 et en antioxydants. Éviter les aliments transformés, riches en sucres et en graisses saturées.

2. Prendre des probiotiques : Les probiotiques sont des bactéries bénéfiques pour l'intestin. Ils peuvent contribuer à rétablir l'équilibre de la flore intestinale et réduire l’inflammation, on en trouve dans des suppléments ou des aliments fermentés.

3. Limiter les antibiotiques : Les antibiotiques peuvent perturber la flore intestinale en détruisant les bonnes bactéries. A utiliser uniquement lorsque cela est nécessaire et suivre les instructions de votre professionnel de santé.

4. Gérer son stress : Le stress chronique peut affecter l'équilibre de notre intestin. En pratiquant des techniques de gestion du stress telles que la méditation, le yoga, la respiration profonde ou l'exercice physique régulier. (Veuillez lire notre blog sur : Les solutions naturelles pour gérer le stress)

5. Éviter les toxines : En  limitant l'exposition aux toxines environnementales telles que les produits chimiques présents dans les produits de nettoyage, les pesticides ou les plastiques. Choisissez des produits naturels lorsque cela est possible.

6. Dormir suffisamment : Le sommeil joue un rôle crucial dans la santé globale, y compris celle de notre système immunitaire.  Il permet au corps de se réparer et de se régénérer.

7. Éviter l'excès d'alcool et de tabac : L'alcool et le tabac peuvent nuire à la santé de notre intestin et affaiblir notre système immunitaire. 

En cas de problèmes de santé liés à l’ intestin ou des symptômes persistants tels que des troubles digestifs, il est important de consulter un professionnel de santé qualifié pour un diagnostic et un traitement appropriés.

Chaque personne est unique et les besoins de chaque individu peuvent varier.  

Intestins en bonne santé : résoudre la dysbiose, les MICI, le SII et autres troubles digestifs.

Quels sont les symptômes d'une inflammation de l'intestin ? 

  • Crampes abdominales (spasmes, brûlures)
  • Douleurs digestives, ballonnements et flatulences
  • Diarrhées chronique, écoulement de sang ou de glaires
  • Constipation
  • Présence de sang dans les selles
  • La fatigue
  • Le manque d’appétit, la perte de poids

Si la cause des troubles digestifs sont des intolérances alimentaires, ou des sensibilités alimentaires, il faut éliminer ou limiter très fortement les aliments concernés.

En cas d’intolérance au gluten, on va adopter un régime sans gluten pendant une période de 2 à 4 mois environ, et faire durant cette période des tentatives de réintroduction des aliments contenant du gluten, jusqu’à ce qu’il soit de nouveau toléré d’un point de vue digestif.

En cas d’intolérance au lactose, on va procéder de la même façon, mais la période d’éviction est de 3 mois maximum; en général, le lactose peut être toléré ensuite sans problème.

Les MICI intestinales sont le diminutif du mot maladie inflammatoire chronique intestinale il s'agit d'un terme générique qui regroupe deux maladies principales :

La maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique (RCH) ou recto colite hémorragique ulcéreuse (RCHU).

Les deux maladies présentent des symptômes similaires, mais affectent différentes parties de l'intestin et ont des caractéristiques distinctes et des points communs comme la dysbiose.

a) La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l'intestin qui peut toucher n'importe quelle partie du système digestif de la bouche à l'anus.

Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre.

Elle se caractérise par des inflammations discontinues et profondes de la muqueuse digestive qui peuvent entraîner des douleurs abdominales, des diarrhées, des malabsorption et d'autres complications. Les ulcères se développent souvent dans la muqueuse de l'intestin, et la maladie peut entraîner des complications comme des occlusions intestinales, des fistules et des abcès.

La prise en charge de la maladie de Crohn est une question complexe, il faut toujours prendre en considération la personne atteinte. Il s’agit d’une maladie inflammatoire intestinale chronique qui se manifeste souvent au niveau de la partie verticale de l’intestin grêle : l’iléon. Or, sur le plan symbolique en médecine chinoise, cette partie de l’intestin grêle est en lien avec la dynamique du yang, et donc du métal.

En général, les médecins traitent la maladie de Crohn avec des médicaments, du repos intestinal pour diminuer l’inflammation des intestins, prévenir les poussées des symptômes, des modifications de l'alimentation et du mode de vie, et parfois une intervention chirurgicale pour traiter les complications de la maladie.

b) La RCH ou colite ulcéreuse, en revanche, affecte principalement le côlon et le rectum. 

La rectocolite hémorragique est également une maladie inflammatoire chronique de l'intestin mais elle se limite au colon et au rectum.

Les symptômes courants comprennent des douleurs abdominales, des diarrhées sanglantes et une faiblesse générale. Cette maladie provoque également une inflammation et des ulcères dans la muqueuse de l'intestin, ce qui peut entraîner des complications similaires à celles de la maladie de Crohn.

En plus de la maladie de Crohn et de la RCH, il existe d'autres types de MICI moins courantes, comme la colite microscopique et la colite lymphocytaire. Ces maladies comportent également une inflammation chronique de l'intestin, mais leurs causes exactes ne sont pas encore entièrement comprises. Il semblerait néanmoins que les MICI soient liées à une hyperactivité du système immunitaire digestif. 

MICI : comment tacher d'éviter et régler la pancolite ?

Une pancolite est une inflammation généralisée du côlon. Elle survient généralement dans le cadre d’une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI). Elle peut aussi être la complication d’une colite, une inflammation localisée du côlon.

Qu’est-ce que la pancolite ?

Une pancolite est une forme particulière de colite, c’est-à-dire un type d’inflammation qui survient au niveau du côlon, segment le plus long du gros intestin. Si les colites sont généralement localisées et n’affectent qu’une partie du côlon, la pancolite est une inflammation généralisée du côlon.

Quelles sont les causes de la pancolite ?

Une pancolite est généralement la conséquence d’une Maladie Inflammatoire Chronique de l’Intestin (MICI).

Il en existe différentes formes, dont les causes exactes restent inconnues. Il semblerait néanmoins que les MICI soient liées à une hyperactivité du système immunitaire digestif. On en distingue souvent deux différentes :

Une pancolite peut être la complication d’une colite localisée. Elle fait généralement suite à :

> une colite infectieuse, qui peut être d’origine bactérienne, virale, parasitaire ou encore fongique;

> une colite iatrogène, qui peut être provoquée par une irradiation lors d’un examen médical ou la prise de certains médicaments tels que des antimitotiques, des antibiotiques, des anti-inflammatoires ou encore des neuroleptiques;

> une colite ischémique, aiguë ou chronique, qui est due à une mauvaise irrigation de la paroi du côlon;

> une colite microscopique comme la colite lymphocytaire et la colite collagène.

Il n'y a pas de remède définitif encore connu pour les MICI, et les traitements actuels permettent généralement de réduire l'inflammation et d' améliorer la qualité de vie du patient. 

Les recherches avancent mais pas encore assez vite pour les cas les plus graves.

Chaque cas de Mici est unique et peut nécessiter une approche de traitement personnalisée pour élaborer un plan de traitement adapté à leurs besoins individuels.

Ces maladies augmentent très rapidement dans les pays en voie d’industrialisation (environnement et pollution : plastique, détergents, phytosanitaires, nitrites, antibiotiques, métaux lourds, COV, …) .

Par leur chronicité et leur intensité, les MICI sont particulièrement éprouvantes et confrontent les malades à de graves troubles intestinaux : diarrhées extrêmes et prolongées, pertes de sang et de mucus, et douleurs abdominales intenses. 

Il n’existe pas de traitement curatif pour les MICI, mais les médicaments anti-inflammatoires actuels permettent dans la grande majorité des cas un contrôle durable de la maladie, pendant plusieurs années, associé à une qualité de vie satisfaisante.

Les traitements conventionnels les plus préconisés sont généralement les anti inflammatoires fortement dosés de corticoïdes, de dérivés de l'acide aminosalicylique ou d'anticorps anti-TNF-alpha. Les antidiarrhéiques, les anti spasmodiques et immunosuppresseurs, antibiotiques sont également recommandés.

Cependant, il est possible d’avoir recours à des traitements alternatifs ou complémentaires qui permettent de soulager les symptômes et de mieux gérer ces maladies au quotidien. 

L'hygiène de vie et les plantes peuvent également contribuer à stabiliser leur évolution. 

L’acupuncture pour soulager et réduire les inflammations des MICI

Le principe du traitement des MICI par l'acupuncture est, entre autres, de maintenir le bon fonctionnement des vaisseaux énergétiques en rééquilibrant les énergies de base du yin et du yang (le yin est associé aux essences ou plantes et le yang, à la force créatrice des esprits). Dans la médecine chinoise, trop de yin ralentit le fonctionnement du corps, et trop de yang l’accélère. L'excès de yang se retrouve dans la plupart des symptômes de la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique.

L’hypnose pour soulager et réduire les inflammations des MICI

L'hypnose est une technique d'intervention non médicamenteuse qui fait entrer le patient dans un état de conscience différent du sommeil. Elle peut être utilisée à diverses fins, en particulier en analgésique, et sédatif et en psychothérapie, pour les douleurs chroniques ou aiguës et les états de stress.

L’hypnotiseur est la personne qui permet à une personne hypnotisée d'atteindre cet état de conscience. Il peut aussi être provoqué par la personne elle-même : c'est ce qu'on appelle l'autohypnose.

L’ostéopathie pour soulager et réduire les inflammations des MICI

L'ostéopathie est une approche thérapeutique non conventionnelle basée sur l'idée que la manipulation manuelle du système musculosquelettique peut réduire certains troubles fonctionnels. La perte de mobilité naturelle des organes se reflète dans les muscles, les tendons, les intestins, les crânes ou les enveloppes, provoquant un dysfonctionnement. L’ostéopathie a donc un but préventif et thérapeutique.

La sophrologie pour soulager et réduire les inflammations des MICI

La sophrologie est une technique de relaxation proche de l'hypnose qui place le sujet dans un état de conscience que l'on peut qualifier de « purifié ».

Le patient peut alors être exceptionnellement focalisé sur un besoin particulier. La sophrologie peut, par exemple, réduire la douleur causée par un traitement, aider à se préparer à des examens et concours, sortir de la dépendance, ou atténuer les effets du stress.

L’homéopathie pour soulager et réduire les inflammations des MICI

L'homéopathie est une technique thérapeutique. Elle repose sur un principe de similitude : les substances qui peuvent provoquer des symptômes chez les personnes en bonne santé peuvent guérir les mêmes symptômes chez les personnes atteintes de MICI. Ce traitement s'oppose à la médecine dite allopathique, qui traite les symptômes avec la substance opposée. L’homéopathie prend en compte non seulement la maladie, mais également les personnes qui souffrent.

La méditation pour soulager et réduire les inflammations des MICI

La méditation pleine conscience est une technique sans effet secondaire, qui consiste à simplement être là, en accueillant les pensées, les sentiments ou les émotions qui viennent. Elle pourrait être une technique efficace pour améliorer le bien-être quotidien des personnes atteintes de MICI.

L’activité physique pour soulager et réduire les inflammations des MICI

Pour finir, l’activité physique est un bon moyen d’améliorer la fonction digestive et de réduire le stress. Par exemple, le yoga pourrait aider à mieux vivre les poussées, sachant l'importance des aspects émotionnels et psychologiques. Certaines poses de yoga permettent de masser les intestins, ce qui favorise la relaxation.

Les traitements naturels pour soulager et réduire les inflammations des MICI

La muqueuse intestinale est réparée à l'aide de diverses plantes : de la réglisse (anti-inflammatoire), du curcuma (hautement anti-inflammatoire également) ainsi que le gingembre et de la mélisse antispasmodique, ou à l'aide de l'acide aminé glutamine.

Les champignons, les champignons shiitake, reishi, cordyceps ou maitake aident à réguler le système immunitaire. La camomille allemande peut également soulager des indigestions (plus pratique et efficace sous forme de compléments alimentaires).

Face aux ballonnements et flatulences, fléaux des maladies intestinales, voici deux solutions naturelles :

Une synergie de poudre de feuilles d’ortie et de chlorophylle magnésienne (issue de la luzerne). L’ortie est désinfectante et équilibrante pour la flore et ses mucilages régulent le transit. La chlorophylle oxygène le microbiote et fait le ménage dans les levures et bactéries qui le peuplent. à prendre sous forme de gélules concentrées en principes actifs (400 mg pour chaque plante) .

En termes de régime alimentaire, les personnes qui souffrent de cette maladie sont souvent soulagées par l’arrêt des produits laitiers et des glutens pendant les phases de crises. Néanmoins, encore une fois, chaque cas a ses particularités. 

Il convient de stopper impérativement le tabac et surtout les sodas et l'alcool.

L'usage d'aliments alcalinisants est souvent très apaisant. Les purées de carotte, pomme de terre, brocolis, ou courge par exemple. Le riz blanc, les châtaignes ou les amandes émondées surtout pre-trempées, …

Les viandes blanches et les sardines en boîte ainsi que les œufs sont souvent bien tolérés mais chacun testera au cas par cas selon le niveau de l'inflammation.

L'arrêt du café peut être remplacé par des boissons très douces comme des tisanes de calendula, camomille, mélisse, anisées comme anis-fenouil-cumin, achillée millefeuille, plantain, menthe verte et romarin ou pissenlit ou une combinaison de toutes ou certaine de cette liste selon les goûts. L’usage de chicorée Bio sans sucre est aussi envisageable. Le lait de céréales est souvent aussi une excellente solution. En évitant au maximum les sucres même le miel à faible dose.

La consommation d'huiles vierges de première pression  à froid est conseillée.  

L'apport de germanium, zinc, cuivre/or/argent sous forme d'oligo éléments est très utile. De même les cures d'eau de mer de Quinton bien diluées sont remarquables.

Les huiles essentielles peuvent intervenir quasiment à tous les niveaux dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique, leur prise en charge doit être modérée et adaptée selon les spécificités de chaque cas. Pour traiter la dimension inflammatoire, on utilise spécifiquement des huiles qui contiennent des aldéhydes, notamment, la verveine citronnée, la mélisse, le géranium rosat, ou la citronnelle qui a des effets à observer, tant par voie orale que cutanée. De même, on peut se tourner vers des huiles chargées en monoterpènes pour leur action anti-inflammatoire : l’épinette noire, l’encens ou le ciste ladanifère.

Selon l’organe atteint, on se tourne vers telle ou telle autre huile essentielle avec beaucoup de prudence car elles peuvent être agressives.

De façon quasi unanime le CBD amène un bon réconfort face à la douleur voire dans certains cas presque comparable à l'usage de la cortisone, ou pour pouvoir faire des pauses. Seul le dosage doit être significatif (10 gouttes au minimum au moins 3 fois par jour et ce avec un CBD a 20% en full spectrum).

Il faut également boire beaucoup d'eau en fréquence et de haute qualité pour hydrater impérativement l'intestin.

Sur le plan énergétique, tout tourne globalement autour de la question de la gestion du stress et de la capacité à mieux prendre du recul par rapport aux événements et aux sollicitations. Il y a une implication de ce que l’on peut appeler la « subjectivité » de la personne; en d’autres termes, sa tendance à être absorbé par ce qui se passe sans aucune possibilité de prendre de la hauteur. Deux énergies s’en trouvent fragilisées : celle de l’intestin grêle et celle du gros intestin.

Si les lésions inflammatoires se manifestent au niveau de l’intestin grêle, on peut parler d’une difficulté à gérer toutes les émotions, toutes les sollicitations qui nous « enflamment ».

En médecine chinoise, l’intestin grêle est un organe de nature feu. En cas d’inflammation, on a donc ce qu’on appelle une attaque de feu sur le feu. Autrement dit, la personne s’enflamme par hyper-subjectivité et à des difficultés à se distancer de ce qui se passe, ce qui impacte profondément.

Si c’est le gros intestin ou côlon qui est atteint par ces crises inflammatoires, c’est plus spécifiquement l’énergie du métal qui est fragilisée. Dans ce cas, on parle d’une attaque de feu sur le métal. En matière énergétique, le feu contrôle le métal, puisqu’il permet de le façonner. Or, le métal est ce qui permet de dire non, de se protéger, de faire respecter son territoire. 

En règle générale, il est très important de comprendre ce qui se joue pour mieux pouvoir se protéger. Selon la partie du tube digestif qui est atteinte, on peut donc déjà s’orienter vers une expression des émotions pour faire en sorte de les comprendre et moduler par la raison et la prise de recul voir de relativiser leur importance véritable.

En cas d’atteinte de l’intestin grêle (souvent Crohn)

Dans le cas de l’intestin grêle, c’est sa capacité à se structurer et se protéger qui est fragilisée. Or, il existe une huile essentielle qui porte parfaitement la signature énergétique adaptée à cette problématique : la marjolaine des jardins. L’huile essentielle de marjolaine des jardins dispose d’une forte  capacité à aider émotionnellement.

Malgré tout, il est recommandé l’usage alterné des formules très performantes entre les repas dans des verres d’eau  de source.

LISTE DES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES RECOMMANDÉS POUR LES INTESTINS GRÊLES ET COLON

Intestin Api Nature 

1 cuillère à soupe par jour 3 fois par jour 

ADOOFIBRE NataVéa

1 cuillère à soupe par jour 3 fois par jour

Silicea Hubner

1 cuillère à soupe par jour 3 fois par jour

Gel d’aloé vera Lily of desert

1 cuillère à soupe par jour 3 fois par jour

Collagène + MSM + Silice NataVéa

1 cuillère à soupe par jour 3 fois par jour

L-Glutamine Distriform

1 gélule à soupe par jour 3 fois par jour

Acido Digest Confort NataVéa

1 cuillère à café par jour 2 fois par jour

TrioZinc D3 NataVéa

1 comprimé à croquer 1 à 2 fois par jour

Il existe aussi d’autres méthodes naturelles pour soulager les douleurs digestives et les maux de ventre associés aux Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin (MICI), à la Rectocolite Hémorragique (RCH) et à la maladie de Crohn ou aux colites chroniques et autres pancolites :

  1. Boire de l’eau tiède au citron avec du gingembre : Le jus de citron aide à éliminer les toxines et les impuretés présentes dans l’estomac, tandis que l’eau tiède favorise la digestion. Le gingembre est connu pour ses propriétés anti-inflammatoires et digestives. Il est très efficace pour soulager les douleurs abdominales;
  2. Utiliser des compresses et des bouillottes chaudes et prendre des bains chauds : Les compresses chaudes sont également très efficaces pour soulager les douleurs abdominales.
  3. Faire des exercices de respiration profonde : Les exercices de respiration profonde peuvent aider à soulager rapidement les maux de ventre.
  4. Masser l’abdomen avec de l’huile aux 4 lavandes de Naturège : Un massage doux de l’abdomen peut également soulager les douleurs abdominales.
  5. Éviter les aliments irritants et consommer des purées chaudes : Certains aliments peuvent irriter et d’autres tamponner les douleurs abdominales comme les purées de pomme de terre/carottes, le riz, les purées de châtaigne sans sucre, … 
  6. Consommer du charbon végétal activé bio ou du Ligniflor Naturège : Le charbon végétal activé est un excellent remède naturel pour soulager les douleurs abdominales surtout avec d’autres actifs comme dans le Ligniflor qui permettent de restaurer l’équilibre digestif.

Le but est de réussir émotionnellement à prendre du recul. Chez l’humain, l’intestin grêle désigne la part qui assimile l’extérieur pour décider de ce qui rentre profondément dans qui nous sommes. C’est une zone chaude du corps, avec des implications fortes sur le plan psychique. 

La mise  en place d’un protocole adapté avec des solutions naturelles  avec une routine permettra d’agir pour améliorer et maintenir nos intestins en bonne santé.

Nous savons tous à quel point les troubles intestinaux peuvent affecter TOUTE notre santé.

Hyper bio peut apporter les réponses à toutes vos questions sur la digestion, protéger sa flore intestinale responsable d’un grand nombre de maladies et pour vous aider à faire la paix avec votre ventre.

PROTECTION SANTÉ NATURELLE :

Les informations de cet article Hyperbio ne peuvent en aucun cas engager notre responsabilité, quant à une utilisation à mauvais escient ou erronée, de même ces informations ne pourront être considérées comme une quelconque prescription thérapeutique ou médicale et ne peuvent en aucun cas remplacer une consultation auprès d'un professionnel de la santé. Consultez un otorhinolaryngologiste spécialisé dans les maladies de l’oreille, du nez et de la gorge pour un diagnostic complet. Ces compléments alimentaires sont à tenir hors de portée des enfants en bas âge.

De plus, un Ingénieur en Biologie Naturo-conseil référent d'Hyperbio peut vous conseiller avec des conseils personnalisés/sur-mesure. Consultez-nous maintenant ! 

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