BONNE VUE : Solutions et Nutrition des yeux et la vision

BONNE VUE : Solutions & Nutrition des yeux et la vision

INTRODUCTION POUR AVOIR UNE BONNE VISION OU NUTRITION DE LA VUE

Ces dernières décennies l’homme n’a cessé de perdre des aptitudes biologiques et la performance de ses principaux sens sur la biologie des yeux et la “Optinutrition ou Nutri-vision” ou nutrition des yeux. 

Nous recherchons ici la prévalence et les étiologies des déficiences visuelles chez l’adulte et l’enfant ainsi que l'évolution de la vue au cours de la vie influencée par mes modes de vie, d’accès et utilisation des écrans (télévision, écran, tablettes, smartphone et maintenant les lunettes de réalité virtuelle) et une alimentation carentielle ayant de fortes influences. Ces informations sur les altérations de vision sont basées sur des sources bibliographiques sérieuses et des publications scientifiques.

Voici les principales statistiques et constatations sur l'évolution de la vue et l'augmentation des troubles oculaires et de l'acuité visuelle :

1. la vue évolue et diminue en fonction de notre âge :

Le cristallin, une “lentille” située à l'intérieur de l'œil qui change de forme selon si on regarde de loin ou de près, perd en élasticité et en efficacité à partir de 40 ans, ce qui diminue la capacité à voir de près.

La vue reste relativement stable jusqu'à 50 ans, avec moins de 2% de la population touchée par une déficience visuelle. Le nombre de personnes concernées par une perte de vision augmente progressivement à partir de 60 ans et plus encore à partir de 80 ans : environ 20% des personnes âgées de 85 à 89 ans et 38% à partir de l'âge de 90 ans.

2. Augmentation des troubles oculaires avec l'âge et dans le monde sans accès à la prévention ou aux soins : 

Au moins 2,2 milliards de personnes dans le monde sont atteintes d'une déficience visuelle ou de cécité (être aveugle), parmi lesquelles au moins 1 milliard présente une affection qui aurait pu être évitée ou qui n'est toujours pas traitée.

Les affections oculaires et les troubles de la vision sont très répandus et très souvent, ils ne sont pas traités faute de moyens de dépistage ophtalmiques ou de traitements pour la vue (naturels ou chirurgicaux).

Près de 65 millions de personnes sont aveugles ou malvoyantes alors que leur vision aurait pu être corrigée du jour au lendemain par une opération de la cataracte et  plus de 800 millions de personnes éprouvent des difficultés dans leur vie quotidienne parce qu’elles ne possèdent pas de lunettes ou de correction oculaire.

5,5 millions de personnes (soit 1 sur 7) vivent avec une maladie oculaire non diagnostiquée ou traitée mettant en jeu leur pronostic visuel.

75% des cas de perte de vision et de cécité sont évitables ou traitables si l'on peut intervenir rapidement comme pour des affections comme la myopie, la presbytie, le glaucome ou la cataracte.

La prévalence de la perte de vision devrait augmenter de près de 30% au cours des dix prochaines années.

1 – LES RAYONS SOLAIRES ILLUMINENT LA VIE

Le rayonnement solaire produit des photons (1) et des ondes qui apportent de la lumière et de la chaleur dans l'espace proche et sur notre terre. Le soleil est à l'origine des processus de la vie, indispensable au maintien des équilibres des écosystèmes de la planète. C'est la lumière solaire qui a permis, à la plupart d'organismes vivants, d'élaborer des appareils visuels adaptés à leur évolution. La vue leur a permis de s’orienter, de reconnaître leur entourage et leur environnement, d'évaluer les distances, d'apprécier les comportements, de rechercher de la nourriture, d’appréhender les risques, de chasser ou de fuir etc. Chaque espèce a donc développé une acuité visuelle adaptée à son milieu et à sa survie. Quant à l'homme, au cours de son évolution, il s'est doté de cinq sens interdépendants, qui se complètent et s'associent pour répondre aux multiples sollicitations de son existence. La vue est parmi les cinq sens (vision, audition, goût, toucher et odorat) celui qui répond le mieux aux situations immédiates. Souvent, les yeux sont considérés comme les organes principaux de la vue, mais en réalité, la vision s’élabore dans les plus intimes zones corticales de notre cerveau. L’œil peut être considéré comme l'objectif d'une caméra biologique sophistiquée. Le cristallin transparent faisant office de lentille, la rétine pourrait être comparée à un film ultrasensible. Le cerveau serait comparable à une chambre d’enregistrement et d’interprétation des images à partir des couleurs, du relief, de la profondeur de champs, de la distance et des mouvements. Mais sans la lumière, notre système visuel ne pourrait distinguer les objets et les scènes qu'elle illumine. Dans notre mémoire sélective, les images sont reconnues et répertoriées à partir de nos expériences cognitives (2) qui s'élaborent tout au cours de notre existence. Les mêmes choses ou situations ne seront pas vues par tous de la même manière. Ainsi la vue est un facteur d'évolution et de modification de nos comportements.

1) Photons :  particules de lumière

2) Cognitives : fonctions intellectuelles qui permettent la réception, l'intégration, la mémoire et l'expression des informations.

2 – LES PROPRIÉTÉS DE LA LUMIÈRE

La lumière est capable de se déplacer en ligne droite à une vitesse constante d'un point à un autre, à près 300.000 kilomètres par seconde (3). Elle est à la fois une onde et un ensemble de photons. Lorsque le milieu change d'homogénéité, la vitesse de la lumière diminue et sa direction change (1/3 dans l'eau, 1⁄2 dans le verre, et nul (n = 1) dans le vide). Cette particularité physique qu'à la réfraction de la lumière, se retrouve dans l'appréciation que nous avons des choses que nous voyons. 

L'énergie lumineuse est constituée de toute une gamme d'ondes électromagnétiques non visibles, qui s'étendent des très courtes comme les rayons cosmiques, les rayons gamma, les rayons X, suivent les ultraviolets (A, B et C), la lumière visible, l'infrarouge et enfin les grandes ondes. 

Ce sont les ondes de la lumière visible que nous sommes capables de percevoir. Entre le violet et le rouge, sont visibles d'innombrables couleurs dans les nuances de l'arc-en-ciel. 

(3)Très précisément,  la vitesse de la lumière est de 299 792 458 m/s dans le vide.

3 – EVOLUTION DE NOTRE SYSTÈME VISUEL

L'adaptation de notre système visuel à la lumière et aux couleurs s'est probablement constituée tout au cours de notre évolution. 

Nos cellules photo réceptrices qui tapissent notre rétine en sont un bon exemple, puisque celles en cônes sont en plus grand nombre que celles en bâtonnets capables de capter les différentes ondes de couleur inscrites dans le spectre visible de la lumière naturelle. 

N'oublions pas, également, que la lumière à permis la photosynthèse par les plantes. Ce processus chimique est à l'origine de la composition de l'air que nous respirons et de la formation de la haute atmosphère qui nous protège contre des rayons solaires (UVA et UVB) très agressifs pour certains tissus sensibles de nos yeux.

Les adaptations visuelles des organismes vivants se sont faites en fonction des contraintes des milieux pour élaborer des systèmes de vision aptes à leur permettre d'assurer leur survie et leur reproduction.

4 – CONSTITUTION DU SYSTÈME VISUEL

Les yeux (globes oculaires) d'un diamètre de 2,5 cm pour un poids de 7 grammes, sont constitués de 65% d'eau et 35% de protéines (taux le plus important de notre organisme). Ils sont enchâssés dans leur orbite et protégés par les paupières. Pour faciliter ses mouvements l’œil est en permanence lubrifié par les glandes lacrymales. 

Les yeux sont actionnés par 7 muscles qui  permettent un champ visuel de 180° dans toutes les directions. Nous sommes donc capables de voir aussi bien des détails rapprochés et éloignés que de fixer des objets éloignés et en mouvements, de capter les couleurs et les reliefs d'une scène et d'un objet. 

L'intérieur de l’œil contient plusieurs éléments transparents.

De l'avant vers l'arrière, se trouvent, l'humeur aqueuse, le cristallin et le corps vitré. Notre œil a une forme ovoïde qui lui permet d'être un formidable instrument d'optique. Cette déformation de l’œil est produite par la pression constante de l'humeur aqueuse, un liquide transparent qui a pour rôle principal de nourrir la cornée. L'humeur aqueuse circule en permanence dans l'espace clos délimité entre la cornée et l'iris et entre l'iris et le cristallin. Notons que si la circulation de l'humeur aqueuse était entravée, les fibres nerveuses de la rétine seraient détruites par une trop grande pression dans l’œil. Nous serions devant un cas de glaucome (4) qui peut conduire à la cécité (5).

Le cristallin agit comme un filtre optique et contrôle l'accès de la lumière à la rétine. Sa transparence parfaite permet une bonne pénétration de la lumière. Les lipides et protéines du cristallin peuvent à terme et dans certaines conditions, comme des carences nutritionnelles, des agressions excessives (radicaux libres), s'opacifier, provoquant la cataracte (6). C'est de la transparence du cristallin que dépend la bonne réception des images, pour les envoyer à la rétine, puis au cortex qui les analysera.

Le cristallin est principalement composé d'eau et de protéines, disposées selon un motif très précis pour permettre la transparence du cristallin. Lorsque les protéines se modifient et qu'elles forment des corps amyloïdes insolubles, le cristallin devient opaque et la vision baisse. C'est la cataracte.

(4) Glaucome : Trop grande pression de l'humeur aqueuse de l'œil

(5) Cécité : ne plus voir

(6) Cataracte : opacification du cristallin

L'enveloppe de l’œil est formée de trois couches superposées expliquées par Hyperbio. 

* La première couche de protection extérieure de l’œil est la sclérotique qui recouvre 80% de la surface de l’œil. C'est ce que l'on appelle « blanc de l’œil » qui s'amincit en son centre, devient transparent et bombé pour former la cornée. Principale lentille de l’œil, la cornée assure 80% de la réfraction en faisant converger les rayons lumineux à l'intérieur du globe oculaire. Elle est constituée d'une lame de tissu conjonctif, dense et transparente, totalement dépourvue de vaisseaux sanguins et lymphatiques. Elle est nourrie par le film lacrymal cornéen qui simultanément l'humidifie.

* La deuxième couche de l’œil appelée l'uvée est fortement irriguée par un important réseau de vaisseaux sanguins. L'uvée se compose d'une membrane très fine, la choroïde, qui  nourrit les photorécepteurs de la rétine, du corps ciliaire (7), de la pupille (8) et de l'iris (9). L'iris qui donne la couleur à nos yeux est un muscle lisse qui fait varier le diamètre d'ouverture de la pupille. Orifice situé au centre de l'iris, la pupille fonctionne comme un diaphragme. Elle s'ouvre lorsque la lumière est faible ou se ferme lorsque la lumière est intense, permettant ainsi de modifier la quantité de lumière qui pénètre dans l’œil.

* La troisième couche est la rétine. C'est la partie interne sensitive de l’œil, capable d'enregistrer les images puis de les transmettre au cerveau. Elle est formée d'une mince couche de plusieurs types de cellules photo-réceptrices tapissant le fond de l’œil : 125 millions de bâtonnets et 5 millions de cônes. Les bâtonnets sont uniquement sensibles à la lumière. Ils servent à la vision périphérique et crépusculaire (vision de nuit). Les cônes s’activent en pleine lumière et assurent une vision très précise des couleurs ; ils sont concentrés sur la fovéa. La lumière est captée par la rhodopsine, appelée également pourpre rétinien, un pigment protéique photosensible présent dans les cellules photo-réceptrices en bâtonnets de la rétine. La macula est une légère fossette de 1,5 millimètre de diamètre située au centre de la rétine, diamétralement opposée à la cornée. C'est la rétine qui assure la vision centrale et la perception de détails précis. L'acuité visuelle y est maximale, ce qui nous permet de reconnaître un visage, de lire ou de regarder la télévision, etc. Il y a environ 125 millions de photorécepteurs au niveau de la rétine, mais plus denses dans la macula. Ils se répartissent entre des cônes et des bâtonnets. Les cellules en cônes donnent une vision précise des couleurs et permettent l'acuité visuelle. Elles sont composées de trois pigments aux sensibilités différentes selon les longueurs d'ondes perçues. Ainsi l'érythrosine est un pigment sensible au rouge, la chloropsine est sensible au vert et la cyanopsine est un pigment sensible au bleu. (Des affections portent presque le même nom en finissant par –sie-. Ex. : cyanopsie).

Le point central de l’acuité visuelle est la fovéa. Cette dépression en forme de cratère est la zone de la rétine où l’acuité visuelle est la meilleure. Elle est située dans l’axe du regard et ne constitue qu’un millième de la surface de la rétine. C’est ici que les rayons lumineux convergent ; elle est uniquement constituée de cônes. 

(7) Le corps ciliaire: muscles lisses qui par contractions modifient la forme du cristallin et permettent   l’accommodation à la lumière.

(8) La pupille: elle remplit l’orifice central de l’iris, son diamètre varie en fonction de la luminosité (2,5 à 2,7 mm). Elle permet d’éviter l’aveuglement en plein jour et de pouvoir voir la nuit.

(9) L’iris: muscle de structure pigmentée donnant sa couleur à l’œil, en forme d’anneau qui entoure la pupille et qui détermine l’ouverture de celle-ci par contraction et dilatation.

La cornée: Elle est la première lentille transparente de l'œil. Comme un verre de montre, elle recouvre la partie antérieure de l'œil devant l'iris et la pupille. Elle transmet la lumière au cristallin et à la rétine.

5 - MÉCANISMES CÉRÉBRAUX DE CE QUI EST VU : LES RÔLES DU CERVEAU dans la vision.

Parmi nos cinq sens, la vision est la fonction sensitive qui permet le mieux d'apprécier les situations et de nous renseigner précisément sur le monde qui nous entoure. Ce sont les yeux et les aires de vision du cerveau qui guident le corps humain. Notre vue est capable de mobiliser près de 70 % de nos récepteurs sensoriels. Notre capacité visuelle, ne peut se faire que grâce aux 150 millions de cellules photo réceptrices et nerveuses réparties en trois couches formées de :

- cellules ganglionnaires dont les axones se rassemblent pour former le nerf optique pour la première couche du fond de l’œil, 

- cellules bipolaires qui transmettent l'influx nerveux en provenance des photorécepteurs pour la seconde, 

- puis d’une couche de deux types de cellules qui se répartissent en cellules en cônes (5 millions) et en bâtonnets, les plus nombreuses (125 millions) concentrées sur notre rétine.

Ces cellules photo-réceptrices sont sensibles aux photons émis par la lumière, via un processus enzymatique complexe. Elles émettent des signaux nerveux qui sont orientés vers deux millions de cellules ganglionnaires situées sur la couche externe de la rétine. Ces signaux nerveux sont transformés en informations de types contrastes et/ou couleurs, puis ils sont envoyés via environ un million de fibres nerveuses constituant le nerf optique vers les aires  du cortex visuel situé en arrière de notre cerveau. Dans notre cerveau, deux nerfs optiques se croisent. L’œil droit active les zones gauches de notre cortex visuel, alors que l’œil gauche active les zones droites qui les construisent en images intelligibles. La vision mobilise 70% de l'ensemble des neurones de notre cerveau, qui sont, d'une façon ou d'une autre liés à la perception visuelle. C'est dans le cortex cérébral au sein d'une trentaine d'aires stimulées, que se fait la reconnaissance des formes, des situations, etc., par confrontation avec les informations contenues dans notre mémoire visuelle. Il existe donc des aires visuelles spécialisées, comme celle des contours, des formes, des mouvements, des distances, des couleurs, de la reconnaissance des visages, etc.

L'avis du conseiller en nutrition Hyperbio : 

Notre vue doit être protégée tout au long de notre vie. Notre faculté visuelle est une alliée vitale. La formation du système visuel, très complexe, s'élabore dès la gestation. Aussi l'alimentation pendant la grossesse doit être d'une grande qualité et diversité nutritionnelle. Nous recommandons que pendant toute la période de grossesse et d'allaitement, l'alimentation ne soit pas polluée et si possible issue de l'agriculture biologique ou biodynamique. Il faut surtout éviter le contact avec des produits chimiques perturbateurs de la croissance du fœtus. De nombreux nutriments sont indispensables (fer, vitamine B9, zinc, etc.). Mais l'apport en oméga 3, en calcium et en phosphore naturels sont vivement recommandés, car ils participent à la construction du cerveau et du squelette de l'enfant. Après la naissance, l'allaitement au sein est vivement conseillé, car le lait maternel possède des propriétés nutritives sans autres équivalences. Bien évidemment, il est rappelé que le tabac, l’alcool et les psychotropes sont à proscrire avant et pendant la gestation et l'allaitement.

Au cours de la vie d'adulte, l'alimentation doit être riche en bêta-carotène ou en vitamine A (rétinol). Ces vitamines sont stockées en permanence dans les cellules photo réceptrices pigmentaires de la rétine. Les compléments alimentaires doivent être correctement dosés en zinc en raison de ses multiples rôles dans la duplication cellulaire et comme antioxydant.

6 - DE L’ŒIL AU CERVEAU : les mécanismes de la vision expliqués par Hyperbio

« Aucune chose ne peut être vue si elle n'est pas revêtue de lumière et de couleurs ». Cette évidence paraît à priori pleine de bon sens. Cependant, cela demande que l'on s’attarde sur la complexité de notre appareil visuel et de l'importance du fonctionnement cérébral de la vue. Si nous avons la capacité d'être par exemple alertés sur des dangers qui peuvent nous menacer, c'est grâce au cortex visuel mais aussi aux 70% des neurones de notre cerveau. 

Ces particularités font appel à la fusion des images vues par les deux yeux simultanément. Physiquement, nos yeux sont espacés entre eux d'environ huit centimètres. Cette particularité physiologique acquise au cours de l'évolution, appartient surtout à l'homme et aux espèces prédatrices. Chaque œil voit une image différente de l'autre et cette légère dissemblance nous permet d'évaluer la distance à laquelle se trouve un objet, une scène ou une situation. 

La vue est vitale. Elle participe grandement à notre instinct de survie puisqu'elle déclenche en nous au niveau hormonal une modification de notre métabolisme (force physique, rapidité d’exécution, modification cardiovasculaires, arrêt de la digestion, apport de glucose dans le sang etc.). Mais en cas d'alerte, d'autres fonctions peuvent aussi se mettre en œuvre, comme l'interprétation plus fine de détails, le déplacement plus rapide des yeux, une dilatation de la pupille. En conclusion, on peut dire que le mécanisme de la vision est complexe et ne s'arrête pas uniquement à la fonction de l’œil. Il fait surtout appel à des aires visuelles neuronales situées à l'arrière du crâne, dans le cortex occipital (10). On peut dire que le la vue se compose de trois fonctions : physique, par la formation de l'image sur la rétine, physiologique, par la transformation puis la transmission de l'image en signaux codés transmis au cerveau, et finalement, psychophysiologique, par la transformation de signaux codés en perception de mémoires qui font appel à différents autres sens (vision, odorat, ouïe, toucher et goût), mais aussi à notre expérience, culture et connaissance générale acquises tout au cours de notre vie.  

(10) Cortex Occipital : qui se rapporte ou appartient à l'occiput, c-à-d, la partie inférieure de la tête.

7 - ADAPTATION DE L’ŒIL À LA LUMIÈRE ET À L’OBSCURITÉ. Vision nocturne optimale !

Un objet, un personnage où un paysage, réfléchissent la lumière que nos yeux perçoivent. Nos yeux ont une capacité d'adaptation exceptionnelle. Ils sont capables de repérer un détail malgré une intense luminosité ou dans l'obscurité quasi absolue. Mais ils ont aussi la faculté, de percevoir en 1/5ème de seconde un point situé à une distance précise. La pupille se ferme lorsque la lumière est intense et s'ouvre dans l'obscurité. Le rayon lumineux poursuit sa route jusqu'au cristallin qui fait la mise au point de l'image perçue, la retourne sur elle-même et la dirige vers la rétine. Les grains de lumière (photons) produisent sur la rétine des influx nerveux. Les cellules photoréceptrices de la rétine font la distinction entre les couleurs et leurs taux de luminosité. En résumé, les cellules en cônes permettent la vision des couleurs le jour, alors que les cellules en bâtonnets, les plus nombreuses, assurent la vision nocturne en noir et blanc.  

Mais n'oublions pas que nos yeux ont une autre fonction importante, peu connue et assez mal étudiée. La rétine et les cellules photo réceptrices qui la composent ''analysent'' l'intensité, la durée journalière et saisonnière d'exposition lumineuse. Notre organisme fonctionne selon des cycles biologiques (chronobiologie) réglés, entre autres, sur l'alternance du jour et de la nuit, appelés rythmes circadiens. Depuis peu, nous savons que la lumière visible et non visible émise par le soleil est indispensable, entre autres, à notre système hormonal. Il a été établi que la lumière solaire (ou naturelle) qui pénètre à travers nos tissus orbitaux activerait certaines cellules réceptrices de la rétine en relation avec notre hypothalamus(11). De nombreuses fonctions biologiques internes sont sous contrôle de la glande hypothalamique, capable d'activer ou d'inhiber la glande pinéale(12), une glande qui a pour fonction de contrôler notre taux de mélatonine(13) une hormone très impliquée dans les phases d'alternance sommeil/éveil. Par ailleurs, la thyroïde(14), le système sympathique et parasympathique(15), le système nerveux central, etc. sont eux aussi sous contrôle de l'hypothalamus. On voit bien, que la lumière naturelle est comme l'eau, l'air et les aliments, des éléments vitaux indispensables à la vie.  

(11) L'hypothalamus : les noyaux hypothalamiques régulent l'activité du système neurovégétatif, la neurosécrétion, le fonctionnement hypophysaire et les fonctions générales (température, appétit, soif sexualité, comportements, accouchement, etc..). 

(12) La glande pinéale : appelée aussi épiphyse, c’est un organe sensible à la lumière et aux changements de luminosité captés par la rétine. Elle est impliquée dans les biorythmes, le sommeil et l'humeur.

(13) La mélatonine : hormone pinéale dont la production est stimulée par l'obscurité. Elle est impliquée dans la régulation du sommeil, de la puberté et du cycle menstruel.

(14) La thyroïde : glande endocrine sécrétant des hormones thyroïdiennes.

(15) Le système sympathique et parasympathique : composante antagoniste du système nerveux autonome (végétatif).

8 - LE MESSAGE DES COULEURS ET RÔLES DANS LA VISION ET DANS LA CONCEPTION DU MONDE

''Les couleurs sont des sourires de la nature'' disait un poète Anglais. 

Trois types de cellules en cônes contenues dans la rétine permettent d'apprécier et de définir les couleurs. Les photo-pigments qu'elles contiennent sont des protéines capables d'absorber la lumière. L'absorption de la lumière par les pigments des cellules en cônes dépend de la longueur d'onde du rayonnement à laquelle ils réagissent différemment selon le type de couleurs réfléchi par les objets. Ces photo-pigments spécifiques sont l’érythrosine, sensible au rouge, la chloropsine, sensible au vert et la cyanopsine sensible au bleu. Ils se renouvellent constamment, mais lentement. Chacune des couleurs primaires a sa propre longueur d'onde. Les photopigments des cellules en cônes après avoir absorbé la lumière émettent des signaux électriques, qui, par l'intermédiaire de neurones cheminent à travers les fibres du nerf optique jusqu'au cerveau. C'est dans le cortex visuel que les signaux photoélectriques sont traités, nous permettant ainsi d'avoir la sensation d'une grande palette de couleurs pouvant couvrir jusqu'à 17000 teintes différentes. Le daltonisme est l'une des anomalies de la vision des couleurs. Elle se manifeste par la déficience de l'aptitude à distinguer les couleurs de la partie du spectre qui s'étend du rouge au vert. La dyschromatopsie est une mauvaise perception des couleurs. Le monochromatisme est une autre déficience de la vision des couleurs. Dans ce cas, les cônes sont dépourvus des trois photo-pigments qui permettent la distinction de différentes teintes.

De toute évidence, la vue est un sens complexe particulièrement bien doté, mais très fragile, puisque les cellules des tissus qui composent notre œil sont des dizaines de fois plus sollicitées que celles, par exemple, de notre peau. L’oxydation et la dégradation des composants cellulaires de l’œil, notamment les pigments des trois différents types de cellules en cônes sont très exposés à la lumière et aux UV, ce qui est normal puisque l’œil est destiné à la capter. Ces pigments se renouvellent constamment, c'est pour cette raison que les facteurs d'équilibres nutritionnels (même certains nutriments traces) et de protection des yeux sont de la plus grande importance tout au cours de notre vie et plus particulièrement en cas d'importantes sollicitations aux ondes lumineuses nocives (UVA et UVB).

9 – LES MENACES POUR LES YEUX ET LES MALADIES DES YEUX

La littérature médicale est abondante sur les dysfonctionnements et maladies des yeux.

Les principales menaces sont :

* La cataracte (opacification du cristallin),

* La Dégénérescence Maculaire Liée à l'Âge (DMLA) l'une dite sèche (atrophique) ou humide (exsudative) plus sévère, qui est la prolifération de vaisseaux sanguins anormaux sous la macula, 

* Le glaucome (dégénération des fibres visuelles dues à l'excès de pression oculaire), 

* La rétinopathie diabétique (complication due au diabète), 

* Le décollement de la rétine : séparation de la rétine des membranes plus externes du globe oculaire,

* La sécheresse oculaire (et buccale) appelée syndrome sec ou Gougerot-Sjögren.

Pour ces pathologies, nous ne parlerons que de l'aspect préventif et de conseils hygiéno-diététiques qui permettent de protéger, maintenir où améliorer sa vision. Il existe d'autres affections des yeux, comme la conjonctivite, qu'elle soit d'origine allergique, virale, bactérienne, parasitaire ou toxique. La kératite, qui est une inflammation de la cornée. Le rétinoblastome est une tumeur de la rétine.

Par précaution, il est nécessaire de contrôler constamment son acuité visuelle, car les troubles de la vision sont fréquents, parfois soudains et très handicapants. Les anomalies sont détectées par un ophtalmologiste. Aux premiers signes suspects, ce spécialiste détectera si vous avez une anomalie de la réfraction ou de l’accommodation. Les déficiences visuelles liées à une mauvaise réfraction de la lumière peuvent-être la myopie (image qui se forme trop en avant de la rétine qui induit que l'on voit les objets plus flous avec leur éloignement), l'hypermétropie (le contraire de la myopie, les rayons focalisent en arrière de la rétine) ou de l’astigmatisme (anomalie de courbure de la cornée). L'anomalie de l’accommodation est la presbytie (vision nette de loin et trouble de près), qui n'est pas une maladie, mais une perte de l’accommodation due à une atteinte liée à l'âge, elle est inéluctable. 

Bien que contradictoire, la plus importante menace pour les yeux, est la lumière, plus précisément, l’excès de luminosité aussi bien d'origine naturelle que artificielle. Si les pigments de nos cellules photoréceptrices sont capables de se régénérer continuellement, dans certaines situations particulières de luminosité excessive, elles ne peuvent se régénérer suffisamment rapidement. Par exemple, lorsque l'on regarde directement le soleil sans protection (éclipse solaire) où sous l'effet de la réverbération de la lumière solaire sur l'eau, sur la neige, sur la glace. 

L'éblouissement par les phares de voitures, les flashs des spots et arcs électriques, les éclairages artificiels (néons) etc.. Les autres menaces peuvent être d'ordres domestiques et hygiéniques. On peut être souillés par des projections de particules corrosives comme des solvants, des acides, de la fumée (y compris des fumeurs), projection de limailles, copeaux, étincelles, sables et poussières, où agressé par une très forte température. L'exposition aux ondes électromagnétiques (téléphone portable et four à micro-ondes) sont reconnues comme néfastes pour la cornée, le cristallin et les cellules neuronales. Nos yeux peuvent être infectés par des bactéries, virus, ou champignons. Dans tous les cas, il convient de consulter un spécialiste. Une autre menace, à ne pas négliger, est le zona ophtalmique d'origine virale. Il doit être traité rapidement, car des séquelles de l'appareil oculaire sont possibles.

L'avis du conseiller en nutrition d'Hyperbio : 

Un zona ophtalmique est douloureux et long à soigner. Le traitement médical allopathique peut s'accompagner de pratiques hygiéno-diététiques. Rapidement, dès les premiers symptômes, il faut se complémenter par la prise orale de magnésium d'origine organique (marin ou végétal) au moins 600 mg en plusieurs prises journalières, (sous réserve d'insuffisance rénale). A plus faibles doses, la cure doit être suivie pendant plusieurs mois, afin de maintenir un bon équilibre métabolique en magnésium. L'apport doit se faire pendant au moins un an, à raison de 200 à 300 mg par jour (surtout si les douleurs persistent). Si l'accès du zona est possible, masser la zone plusieurs fois par jour avec de l'huile essentielle de lavande (attention à ne pas en mettre dans l’œil). Faire deux fois par jour des compresses d'argile verte maintenues sur la zone douloureuse environ 40 minutes. Des compresses d'élixir du suédois diluées peuvent être aussi posées sur le zona en alternance ou en remplacement de l'argile verte. Parallèlement, l’absorption de  compléments alimentaires naturels permet de soutenir et activer les défenses immunitaires (gelée royale, shiitaké, thym, propolis, etc.), ainsi que le système nerveux central, autonome et périphérique (ginseng, millepertuis, stabilium, optimism, Neurozen Naturège , ...etc.).

10 – COMMENT PROTÉGER SA VUE AVEC DES NUTRIMENTS ADAPTES

L'alimentation et les mesures d'hygiène de vie sont des facteurs importants pour la protection de l'ensemble de l'appareil oculaire (yeux et aires cérébrales). Les conditions de vie moderne ne sont pas toujours adaptées et satisfaisantes pour notre système visuel. 

En premier, l'alimentation qui n'est pas optimale, en dépit de la croyance générale. Nous ne mangeons pas et ne buvons pas correctement. Les bouleversements de nos modes alimentaires, à la diététique souvent déséquilibrée, parfois insuffisants ou excessifs, sont à l'origine de profondes détériorations ou de perte de nos capacités visuelles (et autres). Si l'on veut remédier à nos erreurs nutritionnelles, il est nécessaire d'apprendre et de comprendre le fonctionnement de notre corps et de nos organes et d'adapter l'alimentation à notre mode de vie et de le faire coïncider à nos besoins métaboliques et physiologiques.

Nous devrions manger plus des fruits et de légumes frais riches en antioxydants et se satisfaire de plats et d'aliments moins transformés ou moins « dénaturés » (aliments industriels) par des traitements (four à micro-ondes, cuisson barbecue, cuisson haute-pression, aliments ionisés, ...) ou des assemblages et associations alimentaires inappropriés. 

Nous devons consommer des poissons des mers froides riches en Acides Gras Essentiels (oméga 3), etc. Mais surtout, ne pas consommer n'importe comment (repas décalés). Certains aliments riches en antioxydants nous protègent  contre les méfaits des radicaux libres, alors que d'autres sont riches en nutriments réparateurs et régénérateurs de nos cellules. C'est pour cette raison qu'il faut manger un peu de tout, en petite quantité et de grande qualité. L'alimentation doit être constante et régulière. Trop souvent, les nutriments qui la composent peuvent s'avérer insuffisants ou dégradés par  de mauvais modes de conservation ou de cuisson. Ce qui peut nécessiter, pour remédier à des carences, de se complémenter avec des produits naturels concentrés en nutriments adaptés aux fonctions du système visuel. 

En deuxième nous devons adopter une bonne hygiène de vie. Nous sommes trop souvent sous dépendance lumineuse artificielle excessive et inadaptée. Rappelons que ce sont pendant les périodes d'obscurité que se réparent nos cellules, mais aussi que nous rétablissons nos rythmes biologiques indispensables pour avoir de bonnes activités diurnes et un sommeil réparateur. Notre société est de plus en plus sujette aux pollutions lumineuses artificielles, aux écrans numériques, aux ondes électromagnétiques et solaires excessives, à l'abus de médicaments allopathiques, auxquels s'ajoute le vieillissement normal de l’acuité visuelle. Il en résulte une fatigue oculaire : l'asthénopie de plus en plus fréquente dans notre société électromagnétique. Elle intervient sur de jeunes individus très exposés aux écrans d'appareils numériques. La télévision est regardée en moyenne près de trois heures par jour. L'utilisation de jeux électroniques et d'ordinateurs, pour certains près de 7 heures par jour. Pour d’autres, peut s'ajouter à la dégradation de leur capacité visuelle, un mode d'éclairage inadapté, comme la lumière artificielle des néons qui ne correspond pas au spectre lumineux naturel (nos yeux se sont adaptés à lui au cours de notre évolution). Les flashs lumineux des lieux de spectacle, la conduite de nuit, les arcs électriques de soudage, etc. sont des exemples qui peuvent, à terme, provoquer des altérations de la capacité visuelle. Les symptômes de la fatigue oculaire sont variés, ils peuvent être de nature musculaire (muscles oculaires affaiblis), irritation des yeux, difficultés d'accommodation, sensibilité à l'éblouissement, mauvaise perception de la profondeur, maux de tête, vertiges, etc. Des lunettes filtrantes sont indispensables dans ces situations. Mais attention, elles doivent être bien adaptées, sachant qu'elles doivent être capables de laisser passer partiellement des UVA pour que les mécanismes photo récepteurs qui contrôlent l'ouverture et la fermeture de l'iris soient en partie activés.

Pensez aussi à adapter votre équilibre acido-basique et votre hydratation ! Pensez à consommer du zinc et des caroténoïdes en grande quantité comme dans le Visiobronz Naturège !

11 - ALIMENTS ET NUTRIMENTS POUR UNE BONNE VUE

Pour remédier aux pertes de capacité d’accommodation ou de maladies de la vision, de nombreux nutriments sont indispensables. Tous les types d'aliments, s'ils sont de qualité (notamment biodynamiques ou biologiques), c'est-à-dire, correctement produits, transformés, cuisinés, bien associés entre eux et correctement conservés, sont à même de répondre aux fonctions biologiques de nos dizaines de milliards de cellules différenciées. Il faut donc continuellement s'assurer qu'aux différentes étapes de notre vie et en fonction de nos activités et de notre âge, ne s'installent pas des carences qui provoqueraient des dysfonctionnements à l'origine de mal être oculaire ou de maladies. L'apport alimentaire journalier moyen de protéines doit être équivalent à un gramme par kilo de masse corporelle, et plus encore pour les enfants, adolescents, convalescents et sportifs. Une carence protéique pourrait empêcher le renouvellement cellulaire (mitoses (16) au cours d'une vie). Rappelons aussi, que notre organisme fonctionne de telle sorte, que nous ne pouvons absolument pas manquer d'eau, de glucides et de lipides. En cas de mauvais équilibre nutritionnel et hydrique, notre fonction visuelle en est la première affectée. Par ailleurs, notre vue à besoin du cerveau pour fonctionner correctement, il doit être maintenu en bon état circulatoire et nerveux avec des nutriments spécifiques toute notre vie. L'apport d'acides gras essentiels (AGE), de vitamine A et E, de sélénium, d'anthocyanes, etc. sont des nutriments dont nous avons besoin pour assurer des fonctions de vision diurnes et nocturnes.

(16)  Mitose : qui concerne les cellules somatiques et assure la naissance de cellules identiques à la cellule mère

L'avis du conseiller en nutrition d'Hyperbio  et la vidéo sur la vue: 

L'expérience par la pratique de la diététique et de l'hygiène de vie, m'a permis d'observer que notre vue peut être maintenue et améliorée dans bien des situations de la vie. Encore faut-il être motivé et savoir se prendre en charge ! Bien conseillée, la consommation régulière ou alternée de compléments alimentaires naturels spécifiques à la vision s'est toujours montrée grandement bénéfique à ceux qui prenaient soin de leur hygiène alimentaire et de vie. C'est plus particulièrement le cas lorsque des dégénérescences surviennent à cause d'activités domestiques ou professionnelles nécessitant une grande acuité visuelle, une exposition importante à la lumière solaire et artificielle, à des activités professionnelles dans l'obscurité, d'intense vigilance, à l'utilisation d'écrans numérique ou de jeu vidéo, ou encore la télévision regardée excessivement. Mais aussi, les comportements sociétaux, comme le tabagisme, l'utilisation importante de téléphones portables, les bains solaires excessifs, les bronzages aux UV, de cosmétiques agressifs, manque de bonnes protections lumineuses. 

D'autant que, l'altération se fait naturellement par le vieillissement cellulaire normal, du fait que nous avançons en âge. Il n'est nul besoin d'ajouter des risques de dégénération contrôlables. Ceci doit nous faire prendre conscience que dès le plus jeune âge, il est important de protéger notre vue. La diététique est à même de répondre aux besoins préventifs de la fonction visuelle. L'utilisation par voies orales de plantes, de minéraux, de phospholipides et d'oméga 3, de vitamines, etc., issus des milieux naturels (fruits, végétaux, algues, ingrédients marins, ...) est toujours bénéfique en cure ou pendant de longues périodes, sachant que les améliorations de l'acuité visuelle sont lentes.

Les conseils nutritionnels sont de deux natures : 

• L'une est d'éviter l'oxydation cellulaire par la consommation de nutriments antioxydants.
• L'autre est d'apporter en permanence les nutriments indispensables  aux tissus de l’œil, tant au niveau nerveux que circulatoire.

Les apports nutritionnels doivent être adaptés aux nécessités de chacun. Demander l'avis de votre conseiller en nutrition afin de maintenir ou régénérer votre vue. Prévoir, annuellement, 3 cures de deux fois 20 jours de compléments alimentaires naturels.  De nombreuses préparations nutritionnelles et plantes permettent de protéger et d’améliorer l’acuité visuelle. On notera en particulier :

Les solutions et les conseils chez Hyperbio.com : 

La vitamine E, l'acérola, le sélénium (Se), l’argent (Ag), le potassium (K+), le zinc, le cuivre (Cu), la vitamine A naturelle, la lutéine, la zéaxanthine , l’astaxanthine, le lycopène , les bio-flavonoïdes, la carotte, les AGE (EPA-DHA), le ginkgo biloba, le baie de myrtille, la feuille de myrtille, l’algue Dunaniella Salina, l’algue spiruline, l’algue Harpon de Neptune (Asparagopsis armata), le cassis, l’hericium (Hericium Erinaceus), la taurine, les vitamines du groupe B, le N-acétyl-cystéine, l’acide alpha-lipoïque, les fleurs de souci (Calendula officinalis), le bleuet et la camomille romaine, l’euphraise, le germanium, le pollen.

PROTECTION SANTÉ NATURELLE :

Les informations de cet article Hyperbio ne peuvent en aucun cas engager notre responsabilité, quant à une utilisation à mauvais escient ou erronée, de même ces informations ne pourront être considérées comme une quelconque prescription thérapeutique ou médicale et ne peuvent en aucun cas remplacer une consultation auprès d'un professionnel de la santé. Consultez un otorhinolaryngologiste spécialisé dans les maladies de l’oreille, du nez et de la gorge pour un diagnostic complet. Ces compléments alimentaires sont à tenir hors de portée des enfants en bas âge.

De plus, un Ingénieur en Biologie Naturo-conseil référent d'Hyperbio peut vous conseiller avec des conseils personnalisés/sur-mesure. Consultez-nous maintenant ! 

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