LE TAUX DE SUCRE SANGUIN : Réguler naturellement et efficacement la glycémie

Dites non au sucre et à l'hyperglycémie car notre santé générale en dépend !

"Le sucre est souvent considéré dans son effet addictif comme plus intense qu'une drogue par notre cerveau tant il amène une euphorie. Le sucre génère des envies irrépressibles,  un effet pro-inflammatoire sur le corps et affecte la mémoire et nos capacités d'apprentissage !

Pire, le sucre peut même induire un état dépressif ou de stress. Quand le cortex reçois le sucre, il active la production du neuromédiateur la dopamine,  c'est une exceptionnelle récompense ! Le manque de sucre peut alors être terrible et la demande devient intense. Il est souvent difficile de s'en défaire facilement."

Les plantes et certains nutriments et régimes alimentaires adaptés peuvent véritablement vous aider "

Quels sont les effets du sucre et des glucides dans le corps?

Les sucres  regroupent l'ensemble des matières sucrantes dont saccharose, fructose, miel, sirop de glucose-fructose, agave… Ils appartiennent tous à la grande famille des glucides et à la sous-famille des sucres simples. Les sucres fournissent de l'énergie rapidement utilisable par l'organisme.

On distingue deux types de glucides qui se différencient par leur structure moléculaire ou par leur effet sur la glycémie.

•  les glucides simples (sucres) que renferment les aliments comme le lait, les fruits, le sucre, les friandises et le miel,

•  les glucides complexes (amidon et fibres), que renferment les grains, les légumes et les légumineuses (haricots, pois, etc.).

La digestion des sucres contenus dans les aliments aboutit à la libération de molécules de glucose, qui sont absorbées par l'intestin et passent dans le sang.

Le glucose joue un rôle important dans le métabolisme cellulaire. Il est nécessaire dans de nombreuses cellules pour les processus énergétiques, sa dégradation fournissant de l'énergie sous forme d'adénosine triphosphate (ATP).

La rapidité d'un glucide à être absorbée dans le sang se mesure au moyen de son index glycémique, plus  celui-ci est élevé, plus l'aliment fait monter le taux de sucre sanguin…

La concentration moyenne que l’on appelle glycémie est de l’ordre de 1 gr au litre de sang même si elle peut varier au cours de la journée.

Cette valeur est maintenue à ce niveau grâce à l'intervention d'un mécanisme permettant le stockage et déstockage du glucose, source ou réserve d'énergie.

Foie et pancréas jouent un rôle fondamental dans la régulation de la glycémie.

Le pancréas sécrète dans le sang des hormones susceptibles d’en faire varier la valeur.

Trop de sucres présents trop longtemps dans les artères abîme les parois artérielles ( risque d' athérosclérose ),  pour cela notre corps a tout un arsenal défensif: il utilise des capteurs, qui fonctionnent comme une alarme  qui prévient le cerveau de cette intrusion.

Deux scénarios peuvent se présenter:

1er cas:

• Après un repas copieux contenant des glucides, la glycémie augmente, notre  pancréas plus précisément les cellules spécialisées situées dans les îlots de Langerhans détectent et déclenchent immédiatement la production d'une hormone "l'insuline"  libérée dans le sang. Grâce à cette insuline, la glycémie revient en principe à son taux normal quelques heures après.

• Cette protéine sécrétée par le pancréas est la petite clé qui va ouvrir la porte de nos cellules afin de permettre aux sucres ingérés de pénétrer dans notre organisme véritable carburant avec l'oxygène pour notre métabolisme. Il va également favoriser la mise en réserve du glucose dans les organes de stockage du corps principalement, le foie et les muscles.

2ème cas:

• Après un jeûne prolongé, le pancréas détecte une baisse de la glycémie et un manque de glucose dans le sang, il se met alors à sécréter une autre hormone le glucagon dont l'effet principal est de stimuler les cellules de glucose stockées dans le foie.

• Le foie est  le seul organe dont les cellules sont capables de restituer dans le sang le glucose emmagasiné(sous forme de glycogène). Ce déstockage du glucose a pour effet d'éviter une hypoglycémie dangereuse.

Pancréas et foie jouent un rôle important dans le contrôle permanent de la glycémie.

Ce contrôle suppose un équilibre satisfaisant par les deux hormones antagonistes sécrétées par le pancréas et une gestion fine du stockage et déstockage du glucose dans le foie.

Cet équilibre dynamique que l’on nomme “homéostasie” est obtenu grâce à ce système autorégulé à commande hormonale qui s’avère être une authentique mécanique de précision.

En cas de défaut de production de l’insuline par le pancréas, quand le système ne fonctionne pas, que les cellules du corps n’arrivent pas à utiliser correctement l’insuline, le taux de sucre ne descend pas suffisamment dans le sang, on parle alors de résistance à l’insuline (insulinodépendant). 

Quels sont les effets du sucre sur la santé?

Un aliment est considéré comme source de sucre rapide si son index glycémique est supérieur à 60 environ et comme sucre lent au-dessous de 40. Il est désormais établi que les sucres rapides sont particulièrement “toxiques” pour nos organismes.

Leur absorption provoque un afflux massif de glucose dans le sang dont seule une faible partie sera utilisée sur l'instant pour produire des calories, surtout chez les personnes sédentaires.

Les graisses issues des sucres rapides ont la particularité d’être stockées au niveau de l'abdomen. Cet apport massif de sucre aura pour conséquence le retour précoce de la sensation de faim incitant ainsi à des grignotages répétés et surtout, l'afflux de glucose dans le sang va induire par différents mécanismes un état inflammatoire prédisposant fortement à la survenue de toutes les maladies de civilisation, en premier lieu “ le diabète”, et les conséquences associées comme la thyroïdite (défaut de fonctionnement de la glande thyroïde), l’intolérance au gluten ou maladie cœliaque.

Quels sont les effets sur le pancréas lorsque l'insuline disjoncte?

La maladie diabétique est une difficulté à faire entrer le glucose à l'intérieur de nos cellules, un défaut de fonctionnement de l’hormone l’insuline.

Il y a deux facteurs très différents qui peuvent causer un diabète :

Le diabète de type 1 :

• Il concerne moins de 8% des cas, il se développe principalement chez les enfants, les cellules du pancréas qui fabriquent l’insuline (cellules bêta du pancréas) sont progressivement détruites par le système immunitaire. Il fait partie des maladies dites “dégénératives”. On ignore les raisons pour lesquelles les cellules immunitaires cessent de reconnaître ces cellules comme faisant partie du corps.

• Dans 95 % des cas, c'est la résultante de l’action de facteurs externes sur un terrain génétiquement favorable. Mais il peut apparaître plus tard surtout suite au surpoids et à l'exposition prolongée à des facteurs inflammatoires, en milieu de vie. On parle alors de résistance à l’insuline (insulinodépendant).

Le diabète de type 1 est généralement révélé suite à l’apparition soudaine de symptômes. 

Les symptômes communs que l’on retrouve sont les suivants :

• Un besoin d’uriner plus fréquent, de jour comme de nuit ;
• Une augmentation de la soif ;
• Un appétit qui augmente mais un poids corporel qui diminue ;
• Fatigue, somnolence ;
• Une vision altérée, troubles de la vision.

Le diabète de type 1 est aujourd'hui très bien pris en charge (mais pas guéri) grâce à un apport d'insuline exogène.

Le diabète de type 2 :

Souvent détecté par hasard, il représente 90% de l'ensemble des cas, notre corps développe une résistance qui le rend insensible à l’insuline.  Les récepteurs chargés d'accrocher l'insuline à la surface des cellules pour déclencher le transport actif du glucose à l'intérieur deviennent insensibles et ne répondent plus correctement. Ce qui oblige le pancréas à produire davantage pour avoir une glycémie normale, à dépasser ses capacités et  l'épuiser pour mener finalement comme le diabète de type 1 à des injections d'insuline.

Notre mode de vie, notre sédentarité, le stress, notre alimentation déséquilibrée trop riche en sucres en graisses et en sel, l’abus d’alcool, le tabagisme, l’âge et l’obésité dans 80%  des cas, sont les principales causes du diabète de type 2.

Un signe avant coureur du diabète est le syndrome métabolique qui est une complication du surpoids dans laquelle on constate quelques facteurs:

• Le surpoids est localisé au niveau de l'abdomen,
• Les triglycérides sont élevés,
• Le cholestérol HDL (protecteur) est bas,
• Il y a une hypertension,
• La glycémie à jeun est élevée dans la fourchette du prédiabétique.

La plupart des personnes atteintes de syndrome métabolique sont victimes d'une accumulation de graisses dans le foie, ce qu'on appelle stéatose hépatique associée à une inflammation elle finit par engendrer une maladie hépatique qui peut aller jusqu'à la fibrose

EVITEZ OU LIMITEZ LE SUCRE A VOS ENFANTS CELA DEVIENT UNE HABITUDE !

Une maladie qui peut en couver beaucoup d'autres

Trop de sucres présents trop longtemps dans les artères abîment les parois artérielles. 

Le glucose s’accumule alors en excès dans le sang, entraînant la dégradation progressive et silencieuse des fonctions métaboliques ce qui a pour conséquences de faire vieillir prématurément organes et tissus, les vaisseaux sanguins avec de très lourdes et nombreuses complications de santé :

• risque d' athérosclérose,
• maladies de la rétine, insuffisance rénale, 
• problèmes hormonaux (hypothyroïdie), 
• maladies cardiovasculaires, 
• problèmes nerveux (perte de sensibilité, syndrome du canal carpien),
• problème dentaire (caries, gingivites),
• mauvaise digestion et défaut de cicatrisation (plus de 5000 amputations de membres chaque année).

Le diabète accroît les risques de maladies infectieuses et fait apparaître plus précocement toutes celles liées à l'âge.

Même si en France, le taux de diabète est parmi les moins élevés des pays occidentaux,  le nombre de diabétiques est  passé de 1,6 à 3,6 millions en moins de dix ans… Avec probablement 800 000 diabétiques qui s’ignorent ! Même le diabète transitoire de la grossesse (gestationnel) est en augmentation constante, atteignant maintenant 6 % des femmes enceintes le plus souvent au 2éme et 3éme trimestre de grossesse.

Un diabète n'apparaît pas du jour au lendemain. A partir de l’état pro diabète s'amorce  une dégradation progressive des fonctions métaboliques qui met une dizaine d'années à évoluer vers la maladie. N'ayant  pas de symptômes physiques caractéristiques, seule la mesure de la glycémie via une prise de sang permet de tirer l'alarme.

L’importance de  l'hérédité diffère selon qu'il s'agit du diabète du type 1 ou 2.

Dans le diabète de type 1 le risque est de 8 % si le père est diabétique , 4% si c'est la mère(mais 30% si les deux le sont).

Si un des parents est diabétique de type 2 le risque de transmission à la descendance est de l'ordre de 40%. Le risque est de 70% si les deux parents sont atteints.

Les complications engendrées par un diabète trop longtemps déséquilibré arrivent par la glycation.

La glycation est une réaction chimique qui vient de la fixation des sucres (glucides) sur les protéines. C'est une réaction naturelle qui se produit dans les organismes vivants, lors du vieillissement par exemple, mais également dans les aliments, lors de leur cuisson à haute température( la réaction de Maillard).

La glycation, c’est la rencontre d’un sucre et d’une protéine qui ne se quittent plus ! Les protéines occupent dans notre corps diverses fonctions fondamentales en tant que structure, enzyme, messagère, réparateur cellulaire, etc. Une glycation est la fonction protéique qui se corrompt (car devenue « glyquée »), ouvrant la porte à une cascade de blocages et de dysfonctionnements dans notre métabolisme cellulaire. Trop de sucre circulant et trop longtemps, c’est l’altération fonctionnelle assurée à plus ou moins longue échéance de toutes les protéines rencontrées en chemin. Les protéines visées en premier lieu seront celles de tout l’arbre vasculaire et notamment celles de la microcirculation des reins, des yeux et du cerveau.

Il existe bien sûr des médicaments pour les diabétiques de type 2 mais, sans changement radical de mode de vie et d’alimentation, le pancréas finit tôt ou tard par s’épuiser : les cellules bêta ne parviennent plus à produire d’insuline. A ce moment-là, les diabétiques de type 2 deviennent insulinodépendants eux-aussi. Ils doivent absolument prendre de l’insuline, pour éviter le coma et la mort.

Les enfants de plus en plus jeunes sont atteints de diabète. Les spécialistes ont bien entendu envisagé la piste génétique mais ils nous confirment surtout que notre mode de vie, notre façon de manger et la qualité de notre alimentation participent activement à la prévalence et au développement du diabète. 

Trop de sucres, de céréales et de farines raffinées, trop d’acide gras oméga-6, trans et hydrogénés, trop de sel, l’abus d'alcool, le tabagisme et pas assez de vitamines, d’antioxydants, d’oligoéléments, de fibres, d’acide gras de type oméga-3. Ajouté à cela notre sédentarité, le stress, l'obésité. 

La prise en charge du diabète sur un plan préventif et curatif ne peut donc se concevoir sans prendre en considération la qualité des nutriments ingérés, et celle des sucres en premier lieu en s’intéressant d’abord à leur index glycémique.

Aujourd'hui il existe un indicateur très précis qui nous renseigne sur la vitesse d'assimilation des sucres composant nos aliments, c'est l'index glycémique. Cette mesure est exprimée par rapport à l'absorption du glucose pur qui représente par convention un index de 100.

Chez un homme normal, la glycémie oscille en permanence entre 0,50 et 1,50 g par litre de sang. Les objectifs glycémiques sont aujourd'hui fixés entre 0.70 et 1,10 g/l. Le  diabète est déclaré quand la glycémie est supérieure à 1,26g/l au moins à deux reprises.

Comment stabiliser la glycémie naturellement ?

L’hypoglycémie a une incidence sur notre comportement comme l’état de fatigue, la sensation de faim, une humeur irritable ou nerveuse voire déprimée.

Il est possible de prévenir et même de guérir le diabète grâce à des solutions naturelles sûres, efficaces, faciles à mettre en œuvre.

Plusieurs astuces pour faire baisser votre l'index glycémique IG :

• Une alimentation à faible teneur glycémique qui permet de normaliser le taux de sucre dans le sang.
• La charge glycémique d’un aliment est essentielle; sa cuisson et sa préparation ainsi que le mûrissement des fruits dans une moindre mesure a une influence notoire sur la charge glycémique.
• Les fibres, les protéines et les graisses réduisent l’absorption des glucides.
•  La consommation de protéines permet de rassasier et réduire l’absorption du glucose.
• Consommer des aliments avec plus de fibres (graines de lin, le psyllium, le son d'avoine),
• Consommer des bonnes huiles dans notre alimentation ou des oléagineux (noix, courge, amande, sésame, …) ou des poissons gras comme des sardine ou du thon à l’huile, 
• Ajouter des légumes verts et tubercules comme les courgettes, les brocolis, de la salade, des carottes en salade et des fruits comme les pommes ou autres noix de coco, 
• Ne pas trop cuire les aliments,
• Manger des aliments froids car l’ IG est plus bas
• L’usage important des épices et des aromates comme la cannelle, le laurier, le clou de girofle, … l’ail et surtout consommer des oignons et des échalotes qui sont des régulateurs de la glycémie.
•  Le petit déjeuner est un apport alimentaire où il faut essayer de consommer le moins d’aliments sucrés, c'est-à-dire plus de protéines et de lipides et réduire le taux de sucre.
• Choisir les bonnes sources de glucides comme les féculents lents, les céréales, les féculents complets en supprimant les sources d’aliments raffinés et industriels,
• L’exercice régulier, faire de l’exercice physique ou du sport même doux comme la marche. Les marches digestives après les repas sont recommandées et l’idéal est de environ 30 minutes et l’oxygénation,
• La prise de suppléments de vitamines et minéraux de qualité supérieure,
• Un sommeil réparateur, la quantité et la qualité du sommeil est très importante
• Des soins de la peau réguliers,
• Des techniques efficaces de gestion du stress,
• La pratique de la pleine conscience.
• Pensez aussi à consommer des tisanes de Tentation de sucre, du ginseng et des oméga 3

Comment savoir si le pancréas fonctionne et si le taux d’insuline est stable? 

Les envies de sucre sont importantes.

Choisir les bonnes sources de glucides comme les féculents lents, les céréales, les féculents complets en supprimant les sources d’aliments raffinés et industriels

Faire de l’exercice physique ou du sport même doux comme la marche.

la quantité et la qualité du sommeil est très importante.

Décrochez du sucre pour retrouver la pleine santé et de l’énergie.

Faire baisser l’index glycémique permet de soutenir le pancréas et éviter un pic d’insuline mais ceci induit un besoin.

Nos 10 astuces pour faire baisser votre l'index glycémique IG:

1. Consommer des aliments avec plus de fibres (graines de lin, le psyllium, le son d'avoine),
2. Consommer des bonnes huiles dans votre alimentation ou des oléagineux (noix, courge, amande, sésame, …) ou des poissons gras comme des sardine ou du thon à l’huile, 
3. Ajouter des légumes verts et tubercules comme les courgettes, les brocolis, de la salade, des carottes en salade et des fruits comme les pommes ou autres noix de coco, 
4. Ne pas trop cuire les aliments,
5. Manger des aliments froids car IG est plus bas,
6. L’usage important des épices et des aromates comme la cannelle, le laurier, le clou de girofle, … l’ail et surtout consommer des oignons et des échalotes qui sont des régulateur de la glycémie,
7. Les marches digestives après les repas sont recommandées et l’idéal est de environ 30 minutes et l’oxygénation,
8. INDEX GLYCÉMIQUE D’UN ALIMENT influence de la glycémie lié à la digestion d’un aliment,
9. l’hypoglycémie a une incidence sur notre comportement comme l’état de fatigue, la sensation de faim, une humeur irritable ou nerveuse voire déprimée.
10. IG Glucose: 100

IG Fruits: index glycémique bas 

La charge glycémique d’un aliment est essentielle; sa cuisson et sa préparation ainsi que le mûrissement des fruits dans une moindre mesure a une influence notoire sur la charge glycémique.

Les fibres, les protéines et les graisses réduisent l’absorption des glucides.

Excès de sucre: hyperglycémie, quels sont les symptômes et l’influence de l’alimentation?

Quels sont les aliments à IG bas ?

Contrairement à une idée répandue, l'eau de boisson ne suffit pas à assurer les besoins quotidiens en iode, puisqu'elle n'apporte, en moyenne, que 1 à 2 microgrammes par litre, à peine le centième de ce dont nous avons besoin! Rien à voir avec la teneur des ­algues (4500 microgrammes/100 g), des crustacés, du poisson salé ou même des œufs (50 micro-grammes/100 g).

Quels sont les symptômes d’un excès de sucre ou aliments à IG haut voir très haut?

Chez l’adulte, une forme modérée se manifeste par l’hypothyroïdie, c’est-à-dire le manque d’hormones thyroïdiennes. Plusieurs symptômes peuvent indiquer cette situation :

• la peau sèche,
• une plus grande sensibilité au froid,
• des douleurs musculaires,
• de la fatigue,
• de la déprime,
• une prise de poids qui peut être associée à un manque d’appétit,

Il est donc très important de remplir les recommandations concernant sa consommation quotidienne, qui est de 150 µg par jour pour les adultes. On parle de : 

• hyperglycémie faible, le taux sanguin est compris entre 0,9 et 1g/L,
• hyperglycémie modérée, le taux sanguin est entre 1 et 1.25g/L,
• hyperglycémie sévère, le taux sanguin est supérieur à 1.26g/L.

Quels sont les incidences des émotions sur le taux hormonal et donc le taux de sucre sanguin?

Les sucres rapides à indice glycémique bas :

Pour la thyroïde, étant crucial pour le fonctionnement normal de cette dernière. Ceci peut être attribué au fait qu’il s’agit d’une substance de base pour la production d’hormones thyroïdiennes. De leur côté, celles-ci régulent les processus métaboliques, stimulent la croissance du corps et des organes et contrôlent de nombreux processus dans l’organisme.

D’ailleurs, lorsque nous mangeons des aliments riches en iode, cet oligo-élément se fraye un chemin dans le sang via le tractus gastro-intestinal et trouve ainsi sa voie dans la glande thyroïde. C’est, en effet, dans la thyroïde que l’être humain absorbe une grande quantité d’iode qui est quotidiennement utilisée. Jusqu’à 80 %, pour être plus précis.

Quelles sont les solutions alimentaires pour équilibrer le taux de sucre?

Les sucres rapides à indice glycémique bas :

• la mélasse,
• le sirop d’érable,
• le sirop d’agave,
• le sucre de fleur de coco,
• le xylitol,
• l’erythritol,

Carence et excès

Enfin, certaines personnes peuvent avoir des besoins accrus, comme les femmes enceintes ou allaitantes, les femmes ménopausées (en raison des dérèglements fréquents de la glande thyroïde à cette période), les sportifs (qui peuvent en évacuer des quantités importantes via la transpiration), les adolescents, les personnes âgées, les végétariens, les personnes vivant dans des régions éloignées de la mer, etc.

Quels compléments alimentaires et plantes de régulation?

Un grand nombre de plantes agissent sur la glycémie, on trouvera par exemple :

• le glucicontrol mix de 4 plantes régulatrice sous forme conconventrée,
• l’extrait d'oignon,
• le fenugrec,
• les extraits de cannelle (de Solgar notamment) et la cannelle en tisane,
• les extraits ou infusion d’eucalyptus,
• les extraits de laurier noble,
• les extraits de géranium,
• myrtille, olivier feuilles,
• Infusion régulation des sucres : Tentation de sucre Bioconseil,
• extraits de goyave combiné avec du thé nuilong lyndon,
• les extraits concentrés de berbéris dosés en berbérine,
• chrome picolinate chélaté de Solgar.
• ginseng Ilhwa en cube en mélasse concentrée ou Dyn'actif de Naturège
• des oméga 3 fort de NataVéa ou EPA-DHA de Naturège

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